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Dette morale envers la justice et la Constitution

En tant que juriste, j’ai une dette morale envers la justice et la Constitution de mon pays. Nul n’est censé ignorer la loi (Aristote), c'est-à-dire: personne n’est au-dessus de la loi. Cependant l’État doit à la hauteur de mettre à la connaissance de ses citoyens l’esprit juridique, l’esprit du droit, c’est dire : l’État doit utiliser tous les canaux nécessaires pour véhiculer les lois en vigueur dans la langue vernaculaire de la majorité de la population. AN BON KREYÒL: TOUT INYORAN AYITI INYORAN. Nous avons perdu soit notre jurisme, notre civisme, ou notre MOUNITÉ, ce qui est la base de notre actuel état inconscient. On ne doit pas accuser la justice, la Cour de Cassation, le système en soi, mais les sans éthique qui ignorent la science de la morale et la culture du service public au profit de leurs intérêts personnels. Le droit est une épée à double tranchants, et je souhaite à tous les voleurs d'Haïti de continuer à voler jusqu’à ce que le droit triomphe. Soit nous valorisons la justice ou la justice se rend justice à travers des justiciers, des rebelles face aux crimes légales des gouvernements corrompus d'Haïti. Encore, tous les ignorants d’Haïti sont innocents et se doivent amnistier jusqu’à ce que la peine de mort leur apprenne la justice au tombeau du droit.


Parallèlement aux systèmes extérieurs, la justice au pouvoir n’aura pas d’élus corrompus pour la contrôler et nous avons une bonne chance que la justice se rétablira et ne plus être trop grande pour les petites choses, ni trop petite pour les grandes choses. J’exhorte une empathique juridique en faveur des jeunes de la classe exploitée comme défini dans les articles 44, 46, et 48 du code pénal haïtien pour une Haïti équilibrée juridiquement comme la justice est une pour tous. Je veux que le système judiciaire prenne l’arène présidentielle haïtienne en partenariat avec les démunis accusés et exploités pour une Haïti autonome. Je parle des justiciers, des gangs programmés, des anciens prisonniers piégés par la faute et faiblesse de l’État Haïtien afin de renaître Haïti de ses cendres. C’est mon point de vue. Je demande à ce qu’une dictature de loi soit respectée et impose des règles de droit sur les sources des distributeurs d’armes illégales en Haïti et l’application scrupuleuse de la justice à leur égard.

Que la justice règne, et que le droit triomphe avec des agents du ministère public qui optent pour l'émergence d’une nouvelle génération de jeunes cadres dans les administrations de l’État sans KOLÒN KI BAT.



Wilsonn Telimo Lwi.

Mastè nan sèvis piblik, Jiris, epi prezidan ITIYAyiti ✍️


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